L'eau de notre corps : L'eau organique extrait du livre " l'eau le miracle oublié " J.Collin
Finalement, toute cette eau présente sur cette planète n’est jamais pure. Du fait de sa capacité de dissoudre de nombreux corps, elle se trouve chargée d’éléments minéraux ou organiques qui vont donner des caractéristiques précises dont les vertus ne seront pas toujours en harmonie avec les êtres de cette planète.
En effet, 97% de l’eau planétaire est saline et ne peut être absorbée par l’organisme humain. Sur les 2,7% d’eau douce liquide restant, plus de 99% sont (à l’état naturel) impropres à la consommation, soit naturellement soit, surtout, par la pollution que nous avons apportée.
Car en définitive l’eau la plus importante, la plus sacrée, est bien celle que nous buvons, celle qui est chargée de tous les symboles, celle qui nous accompagne toute notre vie durant, dont on ne peut se passer quelques jours sous peine de mort. Et cette eau représente une fraction intime de notre consommation domestique (1/1000 environ, en France sur 6 milliards de m3 de l’eau potable traitée, distribuée, et vendue).
L’eau de bouche représente à peine 6 millions de m3 environ, 6 milliards de litres, eh bien, cette eau vitale n’existe plus et celle que nous buvons, dans sa quasi-totalité, est contraire aux fonctions organiques et vitales qui président à notre santé.
Qu’est-ce que l’eau organique et quelle eau buvons-nous ?
Nous avons vu que l’hydrogène associée l’oxygène formait l’eau, berceau de la vie originelle, cette eau ou sont apparus des êtres unicellulaires, les protozoaires. Que cette eau intervenait dans les manifestations de la vie, et que l’homme, achèvement suprême, pour le moment, de l’évolution, on comporte lui-même entre 65 et 80% de son poids selon l’âge. Le cerveau siège de notre intelligence et de nos émotions en contient plus de 80%, le sang 95% et nos cellules plus de 85%.
Autrement dit, si on s’imagine un homme debout, creux comme une citerne et si on le remplit d’un volume d’eau qu’il est censé contenir, l’eau lui montrait jusqu’aux épaules.
Eh bien, l’on constate que cette eau qui est notre mémoire cosmique, l’élixir de vie par excellence, nous en négligeons complètement la qualité, soit ignorance, soit la désinformation émanant de groupes de pression, et nous nous retrouvons à boire des eaux impropres à notre organisme dont les effets participent activement à notre dégénérescence cellulaire et aux déclenchements de maladies.
Celles-ci exigent pour notre survie, des soins et des médicaments chimiques (2977€ par habitant en 2018, selon le ministère de la santé) qui nous vivre certes, mais un état de dépendance et d’inconfort et de douleurs permanente jusqu’au terme de notre vie, si longue soit-elle (70% de la population meurt malade à l’hôpital). Actuellement nous ne sommes plus propriétaire de notre corps. Nous nous sommes fait par les autorités médicales et l’industrie chimique pharmaceutique. Nous vivons dans un régime d’assistanat permanent, conditionnés et prisonniers de nos peurs maladives de la maladie, ce qui accroît encore les prédispositions favorables à la survenue de la maladie.
Et il est inquiétant mais pas étonnant de constater que la plupart du corps médical ne préoccupe pas ou peu assez de l’eau que notre corps puisqu’ en sept années d’études médicales, il n’y a pas de cours sur l’eau organique , qui est de out même le principal constituant de notre corps !
De quel eau avons-nous besoin ?
De l’EAU PURE, ou la plus pure possible et qui intègre de bons facteurs électriques, qui sont les plus compatibles possible avec le métabolisme de notre corps.
Le facteur électrique, qui est un concept très important et très simple à comprendre. Car l’eau, infiltrée dans tout l’organisme à travers le sang, la lymphe, les cellules, les tissus conjonctifs etc. …, suivant son équilibre atomique et électronique, va commander la santé de notre corps ou tout du moins l’influencer fortement.
Une fois de plus, le proton d’hydrogène positif électroniquement (ion+) et l’électron négatif électroniquement (ion-), à la base de la création de toute vie, par les jeux d’échanges et d’attraction que nous connaissons bien maintenant, vont déterminer les déséquilibres métaboliques à maintenir. C ‘est Louis Claude Vincent, en France dans les années cinquante et soixante, qui mit en évidence l’importance de ses actions électromagnétiques de ces particules (proton+, électron -) dans les échanges métaboliques de corps humain et mesurant scientifiquement leurs facteurs électriques et créant ainsi ce qu’on appelle la bioélectronique.
Il détermina, à la suite des milliers d’expériences menées avec succès en laboratoire et sur des malades, les terrains sur lesquels des maladies se développaient, notamment pour les cancers et les maladies cardio-vasculaires. Il démontra l’importance de la qualité de l’eau dans l’évolution de ces terrains de maladies en mesurant d’une façon précise ses facteurs électriques. Malheureusement, depuis la disparition de Louis-Claude Vincent, cette méthode de diagnostic de bioélectronique, simple, rapide, fiable, économique, n’a pu résister devant les énormes intérêts de la médecine lourde et de ce fait n’est pas reconnue par le conseil de l’ordre des médecins. Néanmoins, comme d’habitude, cette technique née en France est pratiquée et reprise en Allemagne et aux USA, notamment par la NASA, qui l’a adoptée pour contrôler à distance le métabolisme de ses astronautes.
Mais en France, elle est sujette à caution, à méfiance et scepticisme avec la plus mauvaise foi du monde, tant il est vrai que lorsqu’on ignore quelque chose qui nous dépasse et qui bouscule les idées reçues, on est peu enclin à lui consacrer un triomphe. Et c’est le cas pour la bioélectronique qui rompt complètement avec les techniques d’analyses médicales actuelles et que l ‘on a volontairement laissé sombrer par l’indifférence par trop organisée.
De quel eau avons-nous besoin ?
De l’EAU PURE, ou la plus pure possible et qui intègre de bons facteurs électriques, qui sont les plus compatibles possible avec le métabolisme de notre corps.
Le facteur électrique, qui est un concept très important et très simple à comprendre. Car l’eau, infiltrée dans tout l’organisme à travers le sang, la lymphe, les cellules, les tissus conjonctifs etc. …, suivant son équilibre atomique et électronique, va commander la santé de notre corps ou tout du moins l’influencer fortement.
Une fois de plus, le proton d’hydrogène positif électroniquement (ion+) et l’électron négatif électroniquement (ion-), à la base de la création de toute vie, par les jeux d’échanges et d’attraction que nous connaissons bien maintenant, vont déterminer les déséquilibres métaboliques à maintenir. C ‘est Louis Claude Vincent, en France dans les années cinquante et soixante, qui mit en évidence l’importance de ses actions électromagnétiques de ces particules (proton+, électron -) dans les échanges métaboliques de corps humain et mesurant scientifiquement leurs facteurs électriques et créant ainsi ce qu’on appelle la bioélectronique.
Il détermina, à la suite des milliers d’expériences menées avec succès en laboratoire et sur des malades, les terrains sur lesquels des maladies se développaient, notamment pour les cancers et les maladies cardio-vasculaires. Il démontra l’importance de la qualité de l’eau dans l’évolution de ces terrains de maladies en mesurant d’une façon précise ses facteurs électriques. Malheureusement, depuis la disparition de Louis-Claude Vincent, cette méthode de diagnostic de bioélectronique, simple, rapide, fiable, économique, n’a pu résister devant les énormes intérêts de la médecine lourde et de ce fait n’est pas reconnue par le conseil de l’ordre des médecins. Néanmoins, comme d’habitude, cette technique née en France est pratiquée et reprise en Allemagne et aux USA, notamment par la NASA, qui l’a adoptée pour contrôler à distance le métabolisme de ses astronautes.
Mais en France, elle est sujette à caution, à méfiance et scepticisme avec la plus mauvaise foi du monde, tant il est vrai que lorsqu’on ignore quelque chose qui nous dépasse et qui bouscule les idées reçues, on est peu enclin à lui consacrer un triomphe. Et c’est le cas pour la bioélectronique qui rompt complètement avec les techniques d’analyses médicales actuelles et que l ‘on a volontairement laissé sombrer par l’indifférence par trop organisée.
Le PH
Nous trouvons souvent ces lettres sur les boites des produits de beauté ou les étiquettes de bouteilles d’eau minérale. Cela veut potentiel hydrogène. Dans l’eau moléculaire H2O se trouve en permanence un certain nombre molécule d’eau dissociées en ions H+ qui se promènent d’un côté, et d’ions OH- de l’autre, c’est à dire d’un côté un atome
d’hydrogène qui a perdu son électron négatif et qui redevient par essence ce proton négatif et de l’autre un couple O et H (appelé hydroxyle) qui, ayant récupéré l’électron de cet atome d’hydrogène célibataire, devient électronégatif et polygame. L’eau est alors ionisée, c’est à dire électriquement non neutre et déstabilisée.
Le PH, le potentiel hydrogène, nous indique qui du couple OH- ou de H+ l’emporte en nombre. Si c’est le nombre d’ions H+ qui l’emporte, le milieu est dit acide, c’est la polarité positive, le masculin à dominante positive. Si c’est le couple OH – qui l’emporte, le milieu est dit basique ou alcalin, c’est la polarité négative, le féminin à dominante négative. Tout cela peut être mesuré très précisément sur une échelle allant de 0 à 14 A pH 7, le milieu est neutre, il y a autant d’ions H+ que de couple OH-. Au-dessous de pH 7 : le milieu est acide, le nombre d’ions H+ augmente et le nombre de couples OH- diminue et libère des électrons, il y a un gain d’électrons dans le milieu.
Au-dessus de Ph7, le milieu est alcalin de 7 à 14. Inversement, le nombre d’ions H+ diminue et les couples OH- augment, captant les électrons, il y a perte d’électrons dans le milieu. Comme nous allons le voir, ces phénomènes de quantité d’électrons sont très importants pour notre santé. Notre corps est sans arrêt soumis à ce flux migratoire électronique, qui provoque quotidiennement les réactions métaboliques. Et il est évident que suivant l’intensité de ce flux dans un sens ou dans l’autre, nous allons déplacer le terrain de santé sur le lequel nous nous trouvons et nous sensibiliser à telle ou telle maladie, ou au contraire nous en défendre. C’est pour cela que sommes amenés à étudier le RH2
Le RH2
Voici une autre notion, complémentaire au PH. C’est l’état d’électronisation ou de réduction d’hydrogène. Lorsque l’équilibre ionique est réalisé, grâce aux échanges électroniques entre les ions H+ et les couples OH- , il reste encore dans le milieu d’autres électrons, dont l’importance est fondamentale. Ce rh2 indique la richesse en électrons dans le milieu, on dit qu’il donne le potentiel d’oxydo-réduction, représentant le les échanges d’électrons qui s’établissent dans les réactions chimiques.
- Les oxydants comme l’oxygène sont avides d’électrons. Comme le chlore, le fluor (ceci est très important pour l’eau) ils prélèvent et appauvrissent le milieu en électrons. Ils les captent.
- Les réducteurs comme le cidre, certaines eaux, les jus de légumes crus biologique, les yaourts, fournissent des électrons, ils enrichissent le milieu en électrons.
- L’échelle des électrons varie de 0 à 42
A l’échelle 28, celle-ci marque l’équilibre de ce potentiel électronique. De 28 à 42 c’est OXYDE donc en déficience d’électrons négatifs, les substances oxydantes les ont tous captées Tous ce qui est au-dessous de 28 est RÉDUIT, chargé et riche en électrons négatifs, les substances sont donneuses d’électrons. En analyse bioélectronique, le sang doit être réducteur et tendance acide, c’est à dire riche en électrons. Il pourra fournir les électrons nécessaires aux multiples réactions chimiques qu’un corps en bonne santé
entretien pour ses besoins vitaux, par exemple bien fixer l’oxygène dans le sang. Pour métabolisé le sucre, l’organisme doit fournir deux électrons par molécule.
Mais entre la naissance et la mort, le PH et le Rh2 du sang vont régulièrement en s’alcalinisant et en s’oxydant, en s’appauvrissant en électrons. Le PH d’un individu en bonne santé est de 7 à 7,2 avec un rH2 de 21 à 23. Le sang d’un mourant est à un Ph au-delà de 8, c’est à dire très alcalin, pauvre en électrons. L’absence d’électrons, c’est la mort thermodynamique de la machine humaine qui ne peut métaboliser les nutriments. Et il faut savoir, comme nous allons le voir, que l’alimentation et les nuisances du monde moderne, comme l’eau javellisée, fluorée et ozoné, accélèrent ce phénomène d’alcalinisation et d’oxydation et par voie de conséquence, accélèrent aussi notre vieillissement par les maladies dégénératives.
On comprend facilement qu’une bonne eau, hormis sa pureté, doit avoir un Ph un peu inférieur à 7 et un rH2 entre 24 et 28, pour combattre les terrains alcalins et oxydés de notre mode de vie pauvre en électrons. Inversement, un excès d’électrons peut provoquer de l’acidose : mais tout le fonctionnement de l’organisme est un problème d’équilibre. N’oublions pas que notre corps est conçu pour être en bonne santé, il sait rétablir les équilibres pourvu que nous soyons un tant soit peu à son écoute. Par exemple quand nous courons, nous faisons de l’acidose. En effet, l’effort physique fait que nos muscles sécrètent de l’acide lactique, milieu riche en électrons, jusqu’à nous provoquer des crampes.
Automatiquement, nous augmentons notre capacité respiratoire. Le fait d’être essoufflé a pour effet d’augmenter la quantité d’oxygène à introduire dans notre organisme, dont les atomes vont capter le trop-plein d’électrons libérés par le milieu acide et réducteur de l’acide lactique. Nous pourrons faire une comparaison avec l’air. Dans nos villes, bureaux, voitures, nous souffrons d’un air vicié, pollué. Ce n’est pas que ce soit pauvre en oxygène, car au niveau de la mer, à la campagne ou en ville, ou dans un local fermé, quel que soit l’endroit, se trouve toujours une proportion de 21% d’oxygène dans l’air que nous respirons. Ce qu’il manque, ce sont les oins négatifs d’oxygène, les
« oxyions ». Et s’il n’y a pas un minimum de ses ions négatifs dans l’air que nous respirons, nous nous sentons mal, comme avant un orage, d’où la nécessité d’en fabriquer avec des appareils pappelés ioniseurs ou d’attendre un orage.
Une fois de plus, nous nous retrouvons devant le plus profond mystère de la vie, devant: ce ballet de particules «matérialisées» provenant du monde vibratoire, dont l’électron, négatif et femelle, issu du plus profond temps originel de l’univers, inlassablement organise, attire, structure, s’accouple, s’unit avec le monde positif mâle du proton. Cette loi d’attirance électronique se retrouve dans tous les phénomènes de la vie, dans l’accouplement de la femelle avide d’électrons négatifs qui en décharge le
mâle en lui prenant sa semence hyper négative. Cette loi des contraires et de la polarisation universelle vers l’irrésistible attraction de l’ UN, est le message en filigrane de notre destin cosmique qui nous interroge en permanence sur nos fins dernières.
Ici, l’eau représentée par ce symbole –O- H + bipolaire, nous rappelle qu’elle assure une fonction vitale entre les forces de notre enracinement terrestre, expression de notre matérialité et notre aspiration céleste, expression de notre spiritualité. C’est avant tout sa pureté qui assume son formidable potentiel de vie et la met en mesure d’exercer cette méditation. Commençons par démystifier l’idée qu’absorber des minéraux par les eaux va vous minéraliser. La pureté sans minéraux est primordiale d’une eau d’alimentation quotidienne. Si les minéraux sont indispensables à la vie, il faut savoir que les animaux en général, et les hommes en particulier, sont incapables de les assimiler directement.
Cette assimilation n’est possible que par l’intermédiaire des végétaux dits « autotrophes ». Ce sont les légumes, fruits, herbes, algues, etc. Ces végétaux ont probablement transformé ces minéraux au second degré à partir d’une pré assimilation au premier degré effectué par ces êtres primaires également appelés « autotrophes » ou « semi autotrophes » que sont certaines bactéries de sols correctement cultivés, ce qui n’est plus le cas actuellement. Ces minéraux se sont alors en complexes organo-métalliques ou oligo-éléments et peuvent être assimilés par l’homme, alors dits « hétérotrophe » Les minéraux des eaux minérales, qui sont des cailloux bruts dissous dans l’eau, sous forme d’ions, sont en réalité des agents totalement étrangers pour notre organisme ; Ils sont amorphes et même contraires à la vie que notre corps va au contraire chercher à éliminer.
A la longue, c’est un facteur actif de la formation de calculs, des thromboses et de cancers comme nous l’expliquerons plus loin. Buvez un litre d’eau de Contrexéville en bouteille et comme dit la pub, vous éliminerez, mais par une diurèse d’élimination. En fait, il s’agit plus exactement d’un effet de rejet du corps qui ne peut assimiler 2000 mg de carbonate de calcium (plâtre) au litre; Et comme le disait Rudolph Steiner, père de l’anthroposophie « la substance qui n’est pas active doit être éliminée, sinon elle est facteur de maladie »
C’est l’écharde dans le pied !
Le but de l’eau n’est pas d’apporter des nutriments mais de permettre leur digestion et leur métabolisme, et ensuite assurer l’évacuation des déchets et des toxines alimentaires. D’où il va de soi qu’elle ne peut en contenir. L’EAU PURE est un nettoyeur cellulaire, un draineur lymphatique. L’eau est bonne pour ce qu’elle EMPORTE et non pour ce qu’elle apporte.
Quid des eaux minérales ?
Im est malheureusement de plus en plus évident que de boire la plupart des eaux minérales en bouteilles, n’est pas meilleur que boire celle du robinet (réseau) . La formidable industrie qui s’est développée depuis quelques décennies utilise et abuse du mythe de l’eau ; La France est riche en sources minérales et thermales et il est vrai que les vertus des cures thermales ne sont plus à démontrer, même s’il reste à en prouver les réels bienfaits thérapeutiques sur le plan purement médical. Le consommateur est trompé en permanence par l’usage de ces eaux minérales en bouteille, dont les ventes axées sur une publicité mensongère et alléchante fait appel habilement à leur pureté, à leur capacité d’élimination des toxines. Ces séduisantes images, toujours tapies quelque part dans notre inconscient pollué par un mode de vie industrialisé, sont des agents complices de la prospérité de ces industries.
Les leurres utilisés ont d’autant plus d’impact que ces mêmes industries et ces mêmes groupes d’intérêts économiques inondent le marché de produits alimentaires de moins en moins naturels et de plus en plus artificiels, pauvres en nutriments, et qui sont les facteurs originels et dégénératifs de nos carences vitaminiques et minérales. Il ne s’agit pas de vouer aux gémonies telle ou telle industrie, nous sommes tous coupables et complices collectivement de cette fringale consumériste et aseptisée ou tout est dans l’image et l’emballage. Nous cédons surtout au plaisir des yeux ; Mais il s’agit de dénoncer la récupération de l’image et du symbole de l’eau à des fins purement lucratives, dont les conséquences à terme affectent d’une façon sensible et pernicieuse, par l’usage immodéré de ces eaux, la santé de populations entières.
Ce label « eau minérale » est concédé par l’Administration en raison des vertus médicinales, vraies ou supposées, reconnues par l’Académie de Médecine. Il faut savoir que les eaux minérales sont les seuls médicaments vendus sans aucune contre-indication. En cela les exploitants d’eaux minérales jouent sur les deux tableaux. D’un côté, ils se prévalent d’un label quasi médical, qui devrait être assorti d’une stricte limitation, et d’un autre côté ils poursuivent une politique de promotion commerciale très agressive, parfois malhonnête, exactement comme un produit de grande consommation. Cette « eau vivante » captée à sa source et mis en bouteille, n’est plus qu’une eau morte sur la table du consommateur.
Ces eaux minérales ne peuvent avoir une notion que si elles sont prises à la source, à l’émergence, au griffon, et à condition que la cure ne dépasse pas 21 jours ; Le professeur Boulanger, président du Haut Comité du thermalisme, pense que c’est le plan balnéothérapique (cure médicale par les bains) que les cures sont bénéfiques et que si l’eau ingérée a un effet, ce serait moins dû aux minéraux avalés qu’à leurs empreintes énergétiques ou aux énergies captées à travers les courants telluriques et la
radioactivité souterraine.
Evidemment, à partir du moment elles sont captées et mises en bouteille, elles perdent au bout de quelques jours leur énergie et leur vitalité, et comme le montrent certaines analyses, deviennent des eaux mortes chargées de minéraux morts et floculés, créant des surcharges électrolytiques du milieu organique, ralentissant, ainsi en définitive les réactions métaboliques nécessaires à la survie cellulaire Non seulement ces eaux sont chargées de minéraux dissous, dont notre corps ne sait que faire, mais la plupart dépassent même, en teneur, les normes imposées aux eaux de sources et recommandées par l’Académie de Médecine, qui n’est pas pourtant très sensibilisée au problème de l’eau organique. Voir tableau à la fin.
Le fluor, par exemple, norme 1,5mg/jour) qui prévoient les caries dentaires si la concentration est de 0,5 à 1 mg/jour, peut au contraire entrainer de vilaines traces sur l’émail au-dessus de 2mg / jour et des maladies osseuses au-dessus de 6mg/ jour. Les eaux de Vichy et de Saint-Yorre à la teneur entre 8 et 9 mg/litre de fluor sont très significatifs du paradoxe et des facilités dont bénéficient les exploitants d’eaux minérales. Le sodium, déconseillé aux hypertendus, aux cardiaques et ceux qui souffrent d’affections rénales, se trouve au-delà des normes (150 mg/ 1) dans les eaux de Vichy, Saint-Yorre, Propaic, etc. Pour certaines eaux on trouve jusqu’à 12 fois la norme.
Le magnésium sulfaté par les eaux de Vittel et Hépar. Les eaux minérales, auréolées de leurs supposées vertus et du « privilège Royal » n’ont même pas besoin de répondre aux normes de potabilité imposées par l’Administration aux eaux de distribution publique. Pour beaucoup elles seraient même interdites dans ses propres réseaux. Or si les teneurs sont obligatoirement indiquées, elles le sont en caractères minuscules sur les étiquettes et aucune mention n’est faite des contre-indications. D’autres part, l’emballage en PVC n’est pas neutre. Si par lui-même, au contact de l’eau, il ne subit aucune modification chimique, il peut en revanche transmettre, par des phénomènes de capillarité moléculaires, des odeurs ou des substances. Mettez un melon bien mûr à côté d’une bouteille d’eau minérale capsulée dans votre réfrigérateur, quelques heures après, aura un goût de melon.
La consommation de ces eaux minérales en bouteille ne se justifie pas, ni sur le plan de l’hygiène et de la santé, ni sur le plan de l’économie : elle coûtent 313 fois plus cher que l’eau du robinet. Les Français, premiers consommateurs et premiers producteurs d’eaux minérales en bouteille, en font un usage immodéré, abusés par une publicité basée sur des symboles alléchants et trompeurs. Les Romains se baignaient dans la source Perrier mais ne la buvaient pas : ils sont fous ces Romains ! Quant à Boileau,
notre écrivain au nom prédestiné il disait : « je prends tous les matins douze verres d’eau ( minérale) plus faciles à rendre qu’à avaler, lesquels, pour ainsi dire, m’ont tout à fait sortir du corps, sauf les maladies pour lesquelles je les prends » Finalement, un rapport discret de la Société des Eaux d’Évian, conclut qu’en définitive moins l’eau est minéralisée, plus elle est diurétique.
Alors faut-il se tourner, tout du moins en France, vers nos eaux potables de distribution ? En regard de certaines eaux minérales commercialisées, il serait en fin de compte moins préjudiciable pour notre organisme, d’en consommer, ce serait le moindre mal.
Qu’en est-il des eaux de distribution urbaine ?
Pouvons-nous les boire sans danger ? Là encore, un grand silence officiel couvre pudiquement l’impasse dans laquelle se trouvent les organismes centralisés qui gèrent notre santé, devant l’insidieuse progression de la pollution dans nos eaux potables. Comme la potabilité l’eau officielle est basée surtout sur la pureté bactériologique, stérilisée à grands coups d’injections de chlore et d’ozone, et que, en alcalinisant et l’oxydant l’eau, on prépare les terrains des maladies de civilisation, ces organismes de distribution d’eau prennent peu en compte les autres polluants issus des activités humaines.
Le professeur Louis Claude Vincent et le Dr Jeanne Rousseau ont été clairs à ce sujet. Ils ont qualifié de drame, dès 1952, face à la Société de Pathologie Comparée, le fait de proclamer et d’enseigner que les analyses chimiques classiques et la pureté bactériologique suffisaient à garantir qu’une eau de rivière filtrée, traitée et stérilisée, était devenue une eau vraiment potable. C’est vouloir ignorer les effets nocifs des substances chimiques dissoutes dans l’eau ou ajoutées par le traitement, ainsi que l’action des virus de toutes sortes, libérés par la destruction des microbes tués par la stérilisation. Il est vrai que notre civilisation hygiéniste et pasteurienne a tué le microbe et réveillé le virus et en a même créé de nouveaux virus (LHV, HIV, prion …).
Les terrains se sont modifiés, ils sont beaucoup plus alcalins et oxydés, terrain générateur de nos maladies de civilisation tel que cancer, thrombose, sida, sclérose en plaques, maladies virales…. Et l’eau de distribution urbaine actuelle, parmi toute notre alimentation, en est devenue un des facteurs actifs. Cela veut dire que nos organismes carencés, glissant vers le terrain alcalin et oxydé, manque d’électrons négatifs pour assurer correctement les réactions métaboliques et des oxydants comme le chlore et l’ozone de nos eaux stérilisées, les vaccins avides d’électrons, qui captent et s’en saturent continuellement, appauvrissant le milieu électronique et privant notre organisme de ses capacités de fonctionnement métabolique Les Anciens appelaient asclepia acida, la médecine acide et réduite, donneuse et riche d’électrons, anti-cancéreuse et anti-thrombose.
Dans la revue Le quotidien du médecin, il y a quelques années un médecin écrivait : « A cause de Pasteur, nous avons perdu un siècle » Nous savons maintenant que lors de ses expériences à Pouilly-le-fort, Pasteur avait triché et sur son lit de mort, il avait confié à un ses amis, outre ses erreurs expérimentales : « Le microbe n’est rien, le terrain qui est tout » Mais il était trop tard, le triomphe et la notoriété de Pasteur étaient tels qu’il n’était pas question de toucher le symbole de cette gloire française, et notre médecine depuis un siècle se bat contre des maux que l’homme et elle-même créent (maladies iatrogènes). Ce sont les Danois qui, les premiers, ont dénoncé le mythe des vaccins, lors de l ‘épidémie de Bornlholm de 1932 à 1934 causée par une vaccination BCG antituberculeuse qui provoqua 8636 victimes dont 3899 paralysés par le virus de la poliomyélite, virus provenant probablement d’une mutation du virus du bacille de la tuberculose.
En effet, tout comme le chlore et l’ozone, les vaccins tuent les microbes, mais ils créent des virus sur l’ADN spécialement actifs et contagieux, difficilement détectables par les analyses habituelles et qui proviennent justement des cadavres de ces microbes tués qui en se cristallisant deviennent indestructibles ! C’est ainsi que les cancers à virus se sont développés par ces poisons antibactériens et vaccinaux.
Dans cet univers aseptisé, nous provoquons l’effondrement de nos propres défenses immunitaires, et nous soumettons et substituons celles-ci, de plus en plus, aux dépendances chimiothérapiques des médicaments. Nous préparons les maladies de demain à travers ces nouveaux virus qui provoquent, mutent, s’adaptent et utilisent nos terrains affaiblis. Par exemple, ce nouveau virus, le prion, mais qui n’est pas à vrai dire ni virus ni bactérie, découvert lors de la maladie des « vaches folles » en Grande
Bretagne, considéré comme un OVNI, eh bien ce virus, pour l’instant, nous ne pouvons pas le combattre. Le Professeur Luc Montagnier disait que ce virus non conventionnel ne déclenchait aucune réaction immunitaire dans l’organisme, et ce demandait ce qui se passerait s’il se transmettait à l’homme.
Le virus HIV du sida, est l’exemple typique de l’évolution des maladies actuelles. Il semble que l’on ait, en partie, abandonné l’espoir utopique de trouver un vaccin puisqu’il semble même que ces dits vaccins, en tant que concepts pasteuriens, seraient inopérants sur ce virus. Et toujours selon le professeur Luc Montagnier, il paraît que le virus HIV, dénoncé comme le générateur du sida, ne peut agir seul. Il faut, qu’il soit en présence d’agents qui apparaissent systématiquement en cas de détérioration de terrien biologique et d’affaiblissement des défenses immunitaires.
On constate donc que de plus en plus la maladie qui produit et rend le microbe et virus agressifs, bien plus que l’inverse. Ils ne sont agressifs et actifs que lorsqu’ils émigrent d’êtres vivants délabrés et ne peuvent le demeurer que s’ils pénètrent eux-mêmes dans un organisme en mauvais état. Bref, LA CONTAGION NE CIRCULE VRAIMENT D’UN ORGANISME MALSAIN QU’A UN AUTRE ORGANISME MALSAIN, comme toute l’histoire de la tuberculose le prouve amplement. Le fameux vaccin du BCG n’a pas éradiqué la tuberculose, la maladie a aussi disparu dans les pays qui n’utilisaient plus ou pas ce vaccin. Certains médecins, et pas des moindres, se demandent, en aparté, si ces virus sont bien en dehors de nous et ne viendraient pas de nos organismes traumatisés, si nous les fabriquerions nous-mêmes en quelque sorte.
Si vous souhaitez allez jusqu’au bout de ce chapitre, achetez le livre de Jacques Collin « l’Eau le Miracle Oublié » il est passionnant jusqu'à la dernière ligne, comme tous ses livres. Il ne me semble pas nécessaire de développer davantage sur les eaux du réseau avec leurs lots de poisons, passons plutôt à la solution face à tous ses dangers ! Ou trouver l’eau pure ? Aujourd’hui, malheureusement, nous nous sommes mis en situation de ne la trouver nulle part.
Quelques sources dans les massifs cristallins et granitiques sont encore préservées. Et pourtant, il faut savoir que l’homme a toujours cherché intuitivement l’eau pure, depuis les Chinois 5000 av J-C, qui conservaient l’eau des glaciers dans des vases de jade. Par hydrolyse, il y avait formation de silice, sel isolant communiquant à l’eau des caractéristiques de résistivité très élevées. En fait, étymologiquement, jade vient de l’espagnol jada qui veut dire néphrétique, iliaque. Donc l’eau, qui évite les crises néphrétiques et faisait fondre les calculs de la fosse iliaque, c’est une eau de jouvence qui nettoie les reins. Les Incas, les Aztèques, utilisaient cette technique pour stocker les eaux dans des vases en obsidienne ou également il y a des formations de silice.
Même les sorciers en Afrique utilisent le quartz qui réalise le même phénomène. Tous ces initiés n ‘ont pas eu besoin de calculs ou de faire des analyses pour déterminer les critères de l’eau biologique. Un fait est certain, c’est que l’eau utilisée est «aminérale » Les observations faites sur les populations à travers le monde qui boivent une eau pure prouvent sans ambiguïté qu’elle représente un facteur non négligeable de l’accroissement de la longévité.
D’après les constats par le Pr.L.C. Vincent sur divers échantillonnages aux USA, en Grèce, au Liban etc.… l’eau pure est à la base de la vie, de la santé ainsi que de la beauté et de la fraicheur de la peau. Les constations faites en 1969 par le Dr Mary de Bunsen sur l’extraordinaire santé et l’extrême longévité (entre 120 et 150 ans) des peuplades du Pamir, révèlent que l’eau est à la base de ces explications. Cette longévité est d’autant plus exceptionnelle qu‘elle s’accompagne d’une virilité continue. Ainsi on peut voire un père de 100 ans, à peine ridé, avec ses enfants dont l’ainée a 70 ans et le dernier 8 ans. Cette eau très pure contient quelques traces de silice. Or la silice, micro transistor, permet à notre organisme de vibrer aux fréquences terrestres (7,83 Hz/sec) au rythme des lunaisons, des saisons, des marées.
Ici la silice n’est pas à considérer en tant que minéral ou oligo-élément comme nous le verrons plus loin, mais comme résonateur et amplificateur des ondes électromagnétiques et des énergies cosmiques à travers les constatations faîtes sur les expériences de la mémoire de l’eau. Si on ne trouve quasiment plus d’eau pure naturelle, le mieux pour l’instant est de la fabriquer soi- même ! C’est à dire de purifier soi-même l’eau de distribution. Les purificateurs d’eau les plus efficaces sont ceux qui utilisent les membranes osmose par le procédé d’osmose inverse.
Ce procédé, à l’origine a été mis au point par les services de la NASA pour recycler les eaux usées des capsules Apollo envoyées sur la lune. Elles s’inspirent tout simplement, à la base, du phénomène naturel utilisé par la matière vivante. Par exemple, les plantes pompent leur eau du sol par le phénomène de l’osmose qui déclenche celui de la photosynthèse nécessaire à leur alimentation. L’oxygène des poumons passe dans le sang par ce même phénomène.
À vrai dire, on explique encore mal ce phénomène (c’est pour cela qu’on l’appelle phénomène) de diffusion de l’eau ou d’autres molécules se transférant d’un milieu à un autre milieu. L’osmose est ce phénomène de diffusion entre deux solutions aqueuses de concentrations différentes. Si on interpose une membrane gélatineuse, semi-perméable, entre une solution aqueuse peu salée et une autre au contraire très salée, l’eau de faible concentration saline traverse la membrane en direction de la solution la plus concentrée en eau saline, cherchant, en diluant la solution la plus concentrée, à rendre égales les concentrations en sel des deux côtés de la membrane. Entre une solution aqueuse peu salée et une autre très salée, l’eau pure de la faible concentration saline traverse la membrane en direction de la solution la plus concentrée en eau saline, cherchant, diluant la solution la plus concentrée, à rendre égales les concentrations en sel des deux côtés de la membrane.
Voir tableau du principe de l’osmose et osmose inverse ci-dessous page suivante
Suite du tableau ci-dessus.
d’oxygène et d’hydrogène de l’eau, très petites, à l’échelle atomique par rapport à une bactérie et même un virus, s’infiltrent par pression mécanique à travers les pores, ou plutôt la structure moléculaire de la membrane semi-perméable. L’eau recueillie ici est à l’état moléculaire, donc dépourvue de presque tous ses minéraux et tous ses micro-organismes. En utilisant la simple pression de l’eau du robinet avec les appareils d’osmose inverse, on obtient à chaque instant une source d’eau pure d’excellente qualité pour la boisson, la cuisson des produits alimentaires, tisanes, thés, cafés, lavage des cheveux, bains faciaux, etc.
Certaines personnes sont tellement encrassées par les toxines qu’elles ne supportent pas brutalement l’ingestion de cette pure, elles sont incapables de la boire. Il y a deux raisons à cela : d’abord leur corps intoxiqué a des réactions d’épuration violentes qui peuvent les mettre mal à l’aise et ensuite se produit au fond d’elles-mêmes un phénomène inconscient de rejet de cette eau pure. Car le fait et le geste de boire cette eau, surtout entre les repas, exige plus ou moins de remettre en cause implicitement sa façon de s’alimenter, sa raison de fumer, de boire de l’alcool et ainsi de suite, jusqu’à se poser des questions sur son mode de vie et de penser, et progressivement infiltrer en soi des raisons de douter de tout ce pour quoi on avait jusqu’ici vécu.
On trouve toutes les sortes de raisons et de prétextes pour ne pas en boire. Notre petit égo résistera avec la dernière des énergies pour éviter l’irruption d’une eau qui risque de dissoudre inconfortablement bon nombre d’illusions fabriquées sa vie durant. L’eau pure agit insidieusement, apporte symboliquement la « nouvelle tunique » de la purification et de la régénération. Quelque part en nous, cet homme nouveau pétri de perfection fait peur et on n’est peut-être pas prêt à vivre aussi purement que cette eau lustrale et cristalline.
Quelles sont les effets de l’eau pure sur nous ?
Nous avons vu rapidement quels étaient, à terme, les effets nocifs et perturbateurs sur notre organisme, des eaux chargées de minéraux dissous, d’agents chimiques ou polluants, le moyen d’obtenir une eau alimentaire correcte par le procédé d’osmose inverse, mais nous allons maintenant examiner de façon plus fine le rôle de l’eau sur notre organisme et psychisme, et jeter un éclairage particulier sur l’importance des impuretés et des éléments à l’état de trace en milieu aqueux, en interaction avec le vivant. On verra, ensuite, l’influence capitale des très faibles énergies micro-vibratoires relayées par l’eau sur le fonctionnement cellulaire.
Notre santé est due à des facteurs dont les variations autour d’un point d’équilibre dépendent de ces faibles niveaux d’énergie, leurs variations peuvent, dans un sens ou dans l’autre, perturber par des phénomènes en cascade ce degré d’équilibre et nous amener d’une façon irréversible sur le terrain de la maladie. Notre corps est constitué de telle sorte qu’il vit en bonne santé, quelles que soient nos tares héréditaires. Si nous nous mettons en position de faiblesse énergétique et immunitaire par notre mode de vie ou de pensée, ce sont évidemment ces tares inscrites dans les molécules ADN de nos gènes qui vont s ‘emparer, en premier, du terrain affaibli et déclencher la maladie potentiellement programmée.
Cette situation oblige à faire intervenir la médecine lourde, avec son arsenal chimique qui soigne davantage les symptômes des maladies qu’elle n’en guérit les causes, nous mettent dans un état de survie et d’assistance médicale permanente. Il faut bien comprendre que ce sont les effets cumulatifs qui sont explosifs, c’est la goutte d’eau impure qui fait déborder le vase. Et tout cela associé à une alimentation de plus en plus carencée, des stress divers dus à notre système de compétition, à la rivalité exacerbée des systèmes sociaux et professionnels, des rapports de force, de volonté de puissance, des peurs cachées, à la pression de pouvoirs religieux ou idéologiques fanatisés et sclérosées dans les drogues culpabilisants, à l’obsession de la sécurité matérielle et médicale, à l’occultation de la mort, tout cela évoluant dans un environnement vidé de tout contenu spirituel. À ce moment, le corps physique, coupé de toutes ses relations cosmiques s’autodétruit par le cancer, les maladies mentales, et nerveuses, virales et cardio-vasculaires.
Notre corps, récepteur de l’univers, ne demande qu’à entrer en résonnance avec ces forces dont l’eau, comme nous allons le voir, le principal vecteur. Mais il semble que notre mode de vie et de pensée actuel, hyper matérialisée, lamine et inhibe insidieusement notre capacité de régénération physique, mentale et spirituelle. Nous nous sommes enfermés dans un système et des schémas intellectuels et de communication mutilante, qui nivellent et musellent entièrement la pensée dans les normes officielles grâce à une médiatisation savamment orchestrée, qui neutralise l’institution géniale spontanée, perturbatrice de l’ordre établi, au profit d’édifications intellectuelles de plus en plus sophistiqués issus d’une élite nombriliste et vaniteuse.
Une fois de plus, nous sommes devenus des Prométhée et des Icare, petits guignols gesticulant dans le vide, sur la scène du cosmos, se croyant beaux et forts comme des personnages de publicité de yaourts et d’eau minérale, exaltant une jeunesse éternelle et qui finalement se dégradent, vieillissent et, malades, disparaissent dans la peur à travers une mort qui leur est incompréhensible, ratant sans doute ainsi leur entrée dans leur véritable éternité.
NON, L’EAU N’EST PAS NEUTRE.
Oui, l’on peut faire résonner l’eau de notre corps au diapason de l’univers et ainsi se réconcilier avec les harmoniques vibratoires cosmiques dont nous sommes issus depuis le chaos originel. Pour cela, il fiat faire une démarche, certes humble, mais noble : se débarrasser des systèmes de pensée religio-scientifico-marxistes réductionnistes, arrogants et dominateurs, issus du XIX siècle qui a plongé l’homme dans une solitude orgueilleuse, pleine de violence et généré les peurs et les angoisses qui le paralysent et l’asservissent encore.
Comme un boxeur groggy qui a perdu tous les rounds d’un match, l’homme commence à comprendre que cette lutte contre lui-même se révélant vaine, il n’est plus possible de vivre autrement quand participant à l’œuvre cosmique. Que les règles d’amour et d’harmonie qui préside à l’évolution de cet univers sont peut-être en fin de compte celles qui lui feront retrouver un jour le paradis perdu originel, qu’il est en fait un enfant du cosmos qui a fait de grosses bêtises, qu’il est puni lui-même et qu’il rentre, maintenant à la maison.
A l’aube de ce III millénaire, il est temps de retrouver Paix, la Santé, la Vitalité, l’Amour que notre mère la Terre est toujours prête à nous donner et de comprendre qu’il n’est pas nécessaire d’accuser la fatalité du destin et de traverser le monde de l’horreur pour mettre en place un amour débarrassé de toute mutilation et de toute ingérence émotionnelle. L’eau nettoie notre pensée comme elle nettoie notre corps. À l’eau pure, une pensée pure et dan le petit Prince, Saint-Exupéry écrivait : » Et cependant, ce que les hommes cherchent pourrait être trouvé dans une seule rose ou un peu d’eau » il est vrai qu’entre la rose et l’eau existe un mariage d’amour dont l’enfant est la rosée.
ALORS CHERCHONS ET TROUVONS.
L’eau est magique par sa mémoire, quels que soient les combats d’arrière-garde encore menés par quelques grands mandarin, possesseurs du pouvoir et du savoir officiel. Même scientifiquement, cela n’est contestable, nous y reviendrons. Par sa structure moléculaire et atomique, l’eau est le liant et le médiateur entre les forces électromagnétiques de toutes sortes provenant du cosmos et de la terre et la matière vivante, et plus particulièrement note corps. Mais les interactions qu’elle déclenche, sur le plan physio- chimique et métabolique, ne se font pas dans n’importe quelles conditions elles dépendent à la fois de la qualité de l’eau que nous buvons et de la qualité des récepteurs que nous avons (cellules, sang , ADN et même pensées…) qui interagissent entre eux et accroissent leurs effets par amplification de leur résonance.
C’est à dire que la qualité de l’eau va accroitre la qualité des récepteurs, comme la cellule par exemple, et la qualité des récepteurs va amplifier et faire agir inversement dynamiquement l’eau au maximum de ses capacités résonnantes, aux niveaux les plus subtils. Il y a interaction dans les deux sens, avec un effet amplifié et cumulé.
En fait, on pourrait même avancer jusqu’au niveau vibratoire, cette eau va réagir en fonction de la qualité de notre pensée et donner le meilleur de ses potentialités émettrice-réceptrices, si elle trouve des récepteurs ouverts au plus niveau vibratoire et même spirituel. Nous sommes loin de l’eau du robinet et des eaux minérales en bouteille !
L’eau donne que si l’on participe. C’est la rencontre de ces deux facteurs qui créé la synergie des eaux miraculeuses, à lourdes ou ailleurs. Quand les conditions de résonance cosmique sont réunies, à savoir être dans un état spirituel donné, dans un lieu déterminé, une source par exemple, au moment propice, un état de grâce par exemple, alors la réaction régénératrice s’allume et provoque le miracle. À ce moment tout nous est donné, l’homme rejoint le divin. Malheureusement, notre mode de vie et notre pensée actuel nous empêche, la plupart du temps, d’accéder à de telles conditions miraculeuses. Notre pensée « raisonnante » notre réaction émotionnelles, le sens de la fatalité, l’accumulation de stress négatifs, désorganisent nos récepteurs en permanence, en particuliers au niveau des structures intimes de notre ADN, donc de nos cellules qui ne peuvent pas vraiment tiré parti des énergies subtiles qui régissent notre équilibre mental et physiologique et n’en captent, finalement qu’une infime partie.
Le message de l’eau, c’est cette prise de conscience qui nous incite à nous couler dans le berceau originel de la vie. Il porte la mémoire de notre unité, le paradis perdu et la promesse d’une renaissance. Il ne tient qu’à nous de retrouver cette terre promise et d’entreprendre ce voyage intérieur qui ressemble à la fois à un parcours alchimique pour la possession de la pierre philosophale et à la quête du graal. Il dort toujours quelque part en nous un Lancelot du lac, un Perceval.
6. PDF la vie électronique de la cellule (page suivante)
et ne sont plus opérationnels, complètement saturés, par exemple les grandes écluses de notre corps que sont les reins ou tout simplement le sang. Les reins, eux aussi, jouent un rôle important dans l’élimination des toxines. Et, une fois de plus, il est simple de constater que l’absorption d’eau pure aminérale favorise l’élimination des déchets artériel à travers les reins. Le Pr. L.C. Vincent et les travaux du Pr Richard ont démontré ce principe de fonctionnement des reins, comparable à une pompe osmotique. Les électrolytes du liquide qui a la plus faible pression, le sang, iront vers le liquide qui a la plus grande pression, l’urine. Chaque fois que l’on augmente la surcharge de notre sérum sanguin avec un excès de sels minéraux, non assimilables (engrais chimiques, eau sur-minéralisées en bouteille), on diminue l’efficacité de nos reins. Par conséquent,
quand l’eau de boisson est aminérale, les reins dégonflent et la différence de pression ou de polarisation augmentera, ce qui favorisera le passage au travers de la membrane rénale.
L’on voit bien qu’une surcharge excessive du liquide extracellulaire va dérégler le système d’échange transmembranaire intra et extracellulaire et perturber le fonctionnement électronique de la cellule. Celle-ci éliminera mal. Le sérum sanguin, à son tour, trop chargé de toxines qu’il est censé récupérer, provenant de ce milieu extracellulaire, va voir augmenter sa pression osmotique et provoquer lui- même un dysfonctionnement osmotique du système rénal incapable d’éliminer correctement ces déchets. Alors l’organisme dérive, glisse vers une toxémie progressive qui n’est pas à proprement parler une maladie, mais en tout cas lui ouvre le terrain en affaiblissent les défenses immunitaires, et favorise tous les phénomènes de dégénérescence bien connu qui se combinent à d’autres facteurs aggravants de notre vie de civilisés. Bref, on se sent vieillir.
Nous allons voir maintenant que cette eau pure apportée à l’organisme est un des facteurs qui améliorent l’état immunitaire et qu’une fois de plus, l’afflux d’éléments indésirables dans l’eau de notre corps perturbe les équilibres électroniques de nos cellules. En effet, les matériaux qui participent à la formation des êtres vivants, aussi bien des cellules que des liquides hydriques humoraux circulant ou baignant dans les tissus, sont constitués en majeur partie de substances colloïdales. Les colloïdes sont des particules en suspension, portant chacune une charge électrique de même signe ; Nous savons qu’une charge positive attire une charge négative et qu’inversement, deux particules chargées de même signe électrique (négative ou positive) se repoussent. C’est l’éternelle histoire de la guerre des sexes. Les répulsions qui s’exercent entre les
charges de même signe de particules colloïdales maintiennent celles-ci en suspension. Les particules se repoussent continuellement. La vie d’ailleurs n’existe pas en dehors de cet état de la matière.
Certaines substances colloïdales, telles les enzymes ou es diastases, sont les catalyseurs qui, en très faible quantité, provoquent et accélèrent la réaction chimique sans y participer. On les retrouve intactes ou inaltérées à la fin de l’expérience. Toute réaction biochimique de notre se fait à travers ces enzymes et ces diastases, nous avons des milliers de sortes, pas toutes inventoriées, chacune spécialisée pour provoquer telle ou telle réaction spécifique. Fussent-elles inexistantes, ces réactions seraient extrêmement lentes ou même absentes, aux températures compatibles avec la vie , qui dépasse guère que 40°, alors que les mêmes produits fabriqués synthétiquement par nos usines chimiques, pour pallier les carences de notre corps, consomment des quantités de chaleur et d’énergie considérables tout en polluant notre environnement, et ceci pour une efficacité moindre.
Il est donc important de préserver l’équilibre de ce état colloïdal et toute action capable de faire floculer, c’est à dire précipiter, le milieu colloïdal détruit cette action enzymatique. Et quand l’organisation colloïdal est détruite, les cellules meurent et il se produit une lésion organique. Ces floculations organiques se produisent principalement dans les infections, les intoxications organiques telles que les hépatites, les traumatismes et même les émotions très violentes. En vieillissant, après des maladies des agressions diverses contre notre organisme, une mauvaise hygiène de vie (tabac, alcool, stress), nous perdons de plus en plus la faculté de synthétiser certaines enzymes, ou diastases, et de ce fait la capacité de métaboliser telle ou telle substance nécessaire à notre corps, ce qui accélère notre dégénérescence.
La sensibilité des colloïdes à certaines agressions est liée aux propriétés de l’eau organique. Ces 70% d’eau présents dans notre corps vont servir de liant à toute l’organisation et les réactions physico- chimiques de notre corps et dans lesquelles se trouvent les colloïdes. On peut alors démontrer que notre état physiologique va dépendre, entre autres, de modifications des propriétés de cette eau organique en fonction de certaines ondes électromagnétiques ou des phénomènes cosmo-telluriques, perturbants dont nous sommes en permanence environnés, qu’ils soient naturels, domestiques ou industriels.
Or cette eau organique, suivant la qualité de sa pureté, va être capable de neutraliser ou pas ces rayonnements perturbants. En effet, une substance, par le fer, placée dans un champ magnétique, acquiert un « moment magnétique » c’est à dire qu’elle s’aimante. Elle devient paramagnétique. Le paramagnétique, c’est la propriété d’un corps de pouvoir s’aimanter. Mais ce magnétisme ambiant agit sur les propriétés de la substance, comme le fer aimanté, jusqu’à en modifier les caractéristiques dynamiques.
L’EAU PURE EST DIAMAGNÉTIQUE
Qu’est-ce que le diamagnétique ? C’est la propriété d’une substance, de s’opposer à l’aimantation, ce que ne peut pas faire le fer qui s’aimante obligatoirement. Une substance diamagnétique placée dans un champ magnétique voit le mouvement de ses électrons modifié et donne naissance à un moment magnétique induit par lui-même, donc qui lui est propre et qui va s’opposer au champ magnétique ambiant externe. La plupart des molécules organiques, les acides et l’eau pure, sont diamagnétiques. L’oxygène, par exemple, bien que nécessaire à l’organisme, est paramagnétique et peut s’aimanter dans le même sens que le fer. Et comme les travaux du Pr. Vincent et du Dr Rousseau l’ont démontré, l’eau pure, support essentiel des tissus vivants, est un élément vital par excellence, doué de propriétés diamagnétiques opposées au paramagnétique anti-vital de l’oxygène.
Or ceci est important, car contrairement à une idée répandue, l’oxygène libre n’est pas un conducteur de la vie. Jamais dans l’univers il n’a été relevé la moindre trace d’oxygène libre. La vie sur Terre est apparue bien avant l’oxygène. S’il est abondant sur notre planète, c’est le résultat exclusif de 1,5 milliard d’années d’évolution végétal rejetant depuis l’aurore de la première vie, dans une atmosphère sans air (vie anaérobie), l’oxygène comme déchets impropre à la vie. L’oxygène n’a jamais été un constructeur de la vie et il n’apparaît d’aucune façon parmi l’arsenal des éléments primordiaux utilisés dans l’univers pour la construction de la vie.
Un milieu dépourvu d’oxygène (dit abiotique) est le plus favorable à la conservation et à l’accumulation de la plupart des types de molécules organiques, lesquelles se trouvent, au contraire, toutes rapidement, c’est à dire brulées par l’oxygène paramagnétique. C’est pourquoi on respire mieux en montagne, en altitude, parce que la pression de l’oxygène est plus faible et le pouvoir réducteur du sang, c’est à dire riche en électrons, plus élevé, et ce n’est pas parce qu’il y a plus d’oxygène. Pendant la dernière guerre, les pilotes qui ont utilisé les masques inhalateurs à oxygène ont souffert de graves ennuis pulmonaires et de cancers. Les tentes à oxygène ne sont plus utilisées dans les pouponnières, celles-ci ayant provoqué de graves accidents par l’oxydation du sang des nourrissons qu’on prétendait sauver.
En résumé, dans l’univers tout se passe comme si la nature se refusait à produire de l’oxygène libre. Cette substance universelle d’oxygène paraît être fondamentale, elle constitue le solide principe de la construction de la vie. Lucien Roujon, bioélectricien, note que « cette propriété de l’eau pure signifie que si l’eau organique se charge de plus en plus d’électrolytes conducteurs, notamment par l’usage courant des eaux trop minéralisées, elle perd à partir d’un certain seuil ses propriétés diamagnétiques et devient perméable aux influences cosmos-telluriques perturbantes et à certains rayonnements électromagnétiques. On voit bien ici ce mécanisme qui, par le pouvoir tampon de l’eau, explique en grande partie la sensibilisation ou la résistance de l’organisme à certaines agressions par sa participation à l’immunité naturelle.
La molécule d’eau, est une pile, un dipôle chargé électroniquement à ses extrémités, positivement et négativement suivant le symbole °-) > H+ que nous connaissons. Quand elle tourne sur elle-même, elle devient un petit perturbateur électrique de son environnement, elle émet, comme nous l’avons vu, un champ magnétique. Dans certaines conditions, il peut donc y avoir un accord entre les molécules voisines pour tourner de la même manière, pour harmoniser les signaux magnétiques qu’elles émettent. C’est une amplification formidable bien connue. Nous en parlerons plus en détail dans la dernière partie de ce livre, avec la mémoire de l’eau.
Il est évident que l’on se rend compte actuellement, à la lumière d’analyses et de constats, de l’influence nocive de certains rayonnements électromagnétiques et radioactifs engendrés par notre civilisation, notamment ceux produit par notre banal courant électrique domestique, rayonnements X diffusées par les écrans TY, ordinateurs, champs magnétiques très puissants des lignes à hautes tensions, radiographie, échographie, four à micro-ondes etc… Nous nous apercevons que ces radiations, non perçues par nos sens provoquent à la longue, insidieusement des perturbations physiologiques et affaiblissement le terrain immunitaire. Si notre eau organique n’a pas la capacité diamagnétique de s’opposer à ces courants, le terrain affaibli s’ouvre à nos maladies, qu’elles soient codées génétiquement ou pas.
EDF, pour les lignes à très haute tension de 400000 volts, a pris conscience, non sans mal, d’ailleurs, du danger des champs magnétiques très puissants générés par les câbles. C’est à la suite de nombreuses plaintes, d’études faites par des géo-biologistes sur des centres d’élevage, de maisons à cancer, au-dessous ou près desquels passaient des câbles à haute tension, que EDF a entrepris des études sur les effets nocifs de ces champs. Le coût économique pour supprimer ces pylônes, inesthétiques qui plus est, et enterrer ces câbles s’élèverait à 1O millions d’euros en 2018. Comme le dirait un fonctionnaire de la DGS, les priorités sont ailleurs.
Et pourtant, les études menées partout dans le monde prouvent sans ambiguïté que toutes sortes de radiations ionisantes, qu‘elles soient électromagnétiques, radioactives ou telluriques même à faible dose, dégénèrent le métabolisme cellulaire, affaiblissent les défenses immunitaires et provoquent un stress organique menant au vieillissement prématuré de l’organisme par des causes et des brèches dans l’ADN de nos cellules. Des équipes de savants russes travaillant au centre de recherche de Prypiat près de Tchernobyl, depuis l’explosion du réacteur nucléaire en 1986, sont arrivés à ce constat alarmant en étudiant à partir des faibles rayonnements de radioactivité résiduelle, leur influence sur des couches de population très éloignées du lieu de la catastrophe. L’effet sur les cellules est certain : leurs membranes deviennent moins capables de remplir leur rôle vital de lieu de passage obligé de substances absorbées ou éliminées par la cellule. Les polarités sont perturbées et les cellules vieillissent prématurément. Dans ce centre, les mêmes constations ont été faites sur des plantes et des animaux.
De même, depuis longtemps, on a découvert l’existence de rayons telluriques attribués à des courants d’eau souterrains. Il s’agit en fait de zones de perturbations cosmo-telluriques ayant une influence sur tout ce qui vit à la surface de la terre. C’est le Dr Ernst Hartmann de l’université de Heildelberg qui a démontré que la santé physique et psychique de l’être humain dépendait souvent du lieu précis où il vivait, dormait et travaillait. Il a mis en évidence un réseau de rayonnements telluriques, qu’on appelle d’ailleurs le réseau Hartmann. Il a démontré le premier que le rayonnement tellurique peut être représenté comme un vaste quadrillage sortant de terre à l’image de cloisons verticales invisibles de 21cm d’épaisseur et s‘étalant sur toute la surface du globe, orientées magnétiquement nord-sud de 2 m en 2 m et est-ouest de 2,5m en 2,5 m environ.
Or à l’aplomb d’un croisement, soit avec une faille géologique, soit avec un courant d’eau souterrain, correspondrait l’émission d’un rayonnement perturbant qui transporterait les ondes magnétiques naturelles en ondes électromagnétiques nocives. L’effet physiologique en résultant est d’autant plus important que beaucoup de gens dorment à leur insu sur un point ou zone nocive. De nombreuses observations médicales ont été faites, surtout en Suisse et en Allemagne, démontrant l’influence de ces rayonnements sur l’état de santé des habitants. En France, le Dr Jean Picard, en relation avec l’Institut de recherches en géobiologie de Lausanne, a , en 1974, mis remarquablement en évidence le plan d’un quartier de la ville de Moulins ou 282 cas de mort par cancer enregistrés sur 9 ans étaient en relation avec des croissements de cours d’eau souterrains
avec ce réseau Hartmann et les cas les plus nombreux coïncidaient en plus avec une faille géologique.
Sur un autre registre, l’importance de l’eau pure a pu être démontrée expérimentalement par des injections intramusculaires d’eau bi-distillée effectuées par une équipe de médecins lyonnais. Selon le Dr Valmer dirigea cette équipe, cette eau pure bi-distillée exerce une action calmante sur certains syndromes douloureux nécessitant des doses débilitantes d’antalgiques et de calmants toxiques. Le Dr Valnet explique l’efficacité de ces injections intraveineuses par une modification des polarités électriques du milieu intérieur, ce qui tend à démontrer, que l’eau pure est hautement favorable à l‘élimination rénale des déchets et à la diminution grâce à sa très haute résistivité électrique, de la
concentration en électrolytes toxiques.
Evidemment, l’eau bi-distillée est d’un coût économique ridicule, ce qui handicape sa commercialisation. Mais attention cette eau n’est pas potable. Elle est très agressive pour le tube digestif. L’eau joue de rôle primordial de relais dans nos cellules, dans la réception, la transformation etl’é mission des champs magnétiques et si ses facultés d’adaptation aux influences extérieures sont perturbées, cela entraine le déséquilibre physiologique du milieu cellulaire. L’état de santé est un état d’équilibre harmonieux, certes parfois précaire, entre l’être vivant et son milieu environnant par l’intermédiaire d’un relais qui n’est autre que l’eau. Il est clair qu’à partir du moment où l’eau organique n’a plus les bonnes propriétés physiques, nous ajoutons un handicap supplémentaire à notre organisme parmi les nombreux autres que notre mode de vie de consommateur nous impose, nous arrivons à un seuil au-delà duquel notre santé doit être relayé par les béquilles de la médecine lourde, coûteuse et aliénante et qui nous permet juste de survivre en nous prolongeant.
Donc si notre corps se trouve chargé de particules et de substances indésirables, cela va modifier à la longue les polarités électriques, non seulement des matières colloïdales qui floculent, mais également celles de nos cellules au niveau des échanges transmembranaire, provoquant progressivement des phénomènes de dégénérescences cellulaire et finalement l’apparition d’un vieillissement précoce aux stigmates irréversibles. Bien sûr, au début, ces phénomènes de dégénérescence ne sont pas spectaculaires, mais les effets sont d’autant plus dangereux qu’ils sont pernicieux. Et c’est au terme de longues années, après avoir usé son capital énergétique, que notre corps, après s’être battu avec acharnement, sans que l’on s’en rende compte, contre toutes les agressions qu’on lui a imposées, abdique dans la maladie, dans un stress brutal que l’on ressent comme une fatalité imposée par le vieillissement, alors qu’elle est tout simplement due à un manquement aux règles de vie élémentaires que l’on a superbement ignoré.
Dans les chapitres précédents, nous avons décrits comment la matière vivante s’architecturait suivant une dynamique basée sur les champs électromagnétiques. Ce que nous voyons et constatons matériellement, ce sont simplement les réactions physico-chimiques, les agencements des atomes qui s’associent sous forme de molécules puis de cellules, dans un ordre croissant, suivant un schéma qui semble prédéterminé. Ces rencontres ne font pas n’importe comment. Tel atome ou telle molécule s’associe avec tel atome ou avec telle molécule mais jamais avec une autre, et ceci parmi les millions et des milliards d’autres environnants. Jamais elles ne ratent leur cible. Nous avons constitué une liste impressionnante de réactions chimiques qui constate l’association de ces atomes entre eux, nous avons parfaitement défini leur » sociologie », leurs affinités, mais nous sommes parfaitement incapables d’expliquer le mécanisme intime de cette « signalisation des molécules entre elles ». Comme s’il y avait des milliards de clés différentes et des milliards de serrures différentes et que, dans tout cet amas tourbillonnant, chaque clé trouvait sa serrure instantanément, à distance, sans jamais se tromper. Non seulement ce phénomène reste sans réponse, mais la science ne s’est même pas encore posé la question.
Et pourquoi ?
Parce que notre science est encore très matérialiste. La biologie, la chimie, et la physique classiques sont encore arrêtées au niveau de l’atome et de la molécule suivant des concepts mécanicistes issu du XIX siècle. Surtout, nous ne pouvons plus aller plus loin dans le raisonnement sans changer de « paradigme », c’est à dire de concept, de vision de l’univers. Il nous faut franchir encore une fois le « mur de la matière » tel que notre pensée et nos sens se le représentent et se le fabriquent
artificiellement. Il est normal que les résistances et les inerties soient fortes devant ce changement de paysage. Car, dans ce nouveau raisonnement, il faut une fois de plus composer avec ces champs électromagnétiques, ces champs vibratoires, ces énergies subtiles, quelque peu insaisissables pour certains avec notre technologie actuelle, pour continuer à expliquer la signification de la matière vivante et même, de la matière en général. Au fur et à mesure que l’on pousse l’observation vers l’infiniment petit, on élargit l’explication, tout en repoussant un peu plus loin l’interrogation. Et il faut faire « un saut quantique » dans la réflexion à chaque fois que l’on change de plan de réalité.
Au niveau biologique, c’est moins de matière qu’il faut parler, que de rayonnement et d’énergie, constituants ultimes de cette matière qui tissent les trames de la vie à travers ses propres champs, organisent la hiérarchie et l’intelligence de cette matière suivant la loi des affinités et de la polarité universelle. Il y a là un champ d’investigation fantastique que très peu de savants osent aborder sans risquer de consommer la rupture avec toute une démarche de pensée officielle, accrochée à l’acquis du rationalisme et du réductionnisme purs et durs. Lorsqu’on intègre l’action des phénomènes électromagnétiques de l’eau en biologie moléculaire, on vient déjà perturber l’ordonnance des lois de la chimie traditionnelle dont les règles, jusqu’ici, fondaient le fonctionnement.
Ce qui gêne le monde scientifique officiel, ce n’est pas tant que cette nouvelle vision de la science vient infirmer le bien-fondé des lois de la science officielle, car elle ne vient en aucune façon dénoncer l’ancienne, les lois restent toujours valables mais strictement dans la perception au premier degré de la manifestation de la matière. Ce qui est plus dérangeant et qui bouscule tout, c’est que cette chimie « énergétique et vibratoire de la matière explique beaucoup mieux l’ancienne et ouvre sur le champ exploratoire immense sur la bioénergie et l’importance des énergies subtiles dans le fonctionnement cellulaire.
L’on s’aperçoit que ce qui fait fonctionner notre bonne vieille chimie, ce ne sont pas tant ses propres lois que quelque chose qu’on a du mal à appréhender, quelque chose de plus en plus immatériel, qui vient d’un ailleurs non expliqué par notre intelligence et qui déverse de sa source une formidable vie organisatrice et bienfaitrice. Le plus extraordinaire, c’est que, sans qu’on en prenne conscience, le moindre atome ou électron de notre corps participe à ce carrousel, se mêle et se fond à chaque instant à ce grand champ cosmique et que si, pour un instant seulement, nous inversions le sens de notre pensée pour l’élever simplement à la fréquence de ces vibrations, il est certain que l’on renouerait avec un monde d’harmonie et de paix. Qu’à chaque instant, cette grande pensée nous force à entrer avec nous-mêmes et en nous-mêmes, de nous interroger sur nous-mêmes, sur notre origine, notre essence.
Nous ne pouvons plus être séparés de l’univers, nous ne pouvons plus le regarder en observateur impartial et étranger, comme un entomologiste scrute un insecte ou un astrophysicien une galaxie. Nous sommes l’univers. Nous nous y confondons et y participons. Dès le niveau de la physique quantique, de ces particules agissant sur un autre plan de réalité plus subtil, dans des dimensions spatio-temporelles différentes, dans des champs vibratoires aux « quantas » d’énergie surgissant d’un univers « super lumineux » éther insaisissable, l’observateur n’est pas neutre. Il agit sur l’expérience et peut l’influencer comme cela a été démontré expérimentalement, il est dans l’expérience.
Or ce plan de la réalité quantique est le vrai plan de la réalité, c’est lui qui ordonne et règle la manifestation matérielle du plan sensuel, telle que nos cinq sens la captent dans la vie quotidienne, à travers note cerveau récepteur, qui traduit mathématiquement la signification par notre propre pensée et nos émotions. Notre univers matériel, nous l’avons déjà dit, n’est en fait qu’une illusion, que les Hindous, depuis longtemps, avaient appelé « maya » que la vraie réalité, celle qui ordonne le monde, se situe toujours dans des mondes de plus en plus subtils, que nos cinq sens avec tous les concepts issus de leur fonctionnement sont incapables d’appréhender. Et il est là, le piège de la matière dans lequel l’homme matérialiste s’est englué depuis des millénaires. Que ce soit pour soigner le cancer ou le sida ou expliquer l ‘origine du monde par le Big Bang, il nous manque toujours un joker pour donner une explication finale. On finit toujours par se trouver devant une interrogation encore plus grande après avoir pensé résoudre le problème de départ.
Car, plus on avance dans l’investigation de cette nouvelle réalité avec des concepts et des explications issus de notre « paradigme » matérialiste, plus nos explications s’enlisent dans l’inexplicable, l’incohérence, l’impossible et le soufre de l’hérésie. Alors, il vaut mieux tout refuser, nier en bloc et tout compte fait rester dans le contexte confortable, très analytique, des explications de notre science expérimentale pure et dure, qui satisfait notre intelligence structurée et rodée à la vision de l’univers que lui présente le kaléidoscope de nos cinq sens. Et c’est vrai que sur ce plan-là, ça marche. Et en faisant semblant de croire ou en croyant vraiment que c’est l’unique réalité, on peut rester longtemps la tête dans le sable sans communiquer avec l’extérieur. C’est le syndrome du bord de carte bien connu des anciens marins de la marine à voile, qui à l’époque, ou l’on ne concevait pas le Terre autrement que plate, ne pouvaient rien imaginer au-delà des cartes connues. Il me semble que la race humaine ait un besoin quasi
biologique de croire, comme les anciens marins, qu’au-delà des limites de la connaissance humaine, il n’existe que le vide.
Nous nous limitons vaniteusement à notre petite intelligence, régentée et codifiée par notre égo enfermé dans nos cinq sens et nous nous emmêlons de plus en plus dans des explications de plus en plus sophistiquées, strictement référencées sur notre mode de pensée issu de notre monde matérialiste, en essayant le plus possible de retarder le déballage de la « grande chose cosmique » qui nous fait peur. Et pourtant nous sommes cernés, la science est cernée, l’immanence de la réalité s’infiltre partout, refuse de voir que les différents plans de la réalité communiquent entre eux , que nous sommes nous- mêmes immergés dans tous ses plans de réalité que l’on appelle arbitrairement
matériel et immatériel tellement nous sommes obsédés par les limites et les frontières.
En fait, finalement, on se cache le divin, la source, on n’ose se l’avouer. On a exilé Dieu dans les religions mutilantes et réductrices, commodes et pratiques, qu’on utilise aux mariages et aux enterrements, des religions qui représentent un Dieu débile et barbu, un Dieu de contes et légendes et de fables pour enfants pas sages. On a bien soin de le sortir des réalités quotidiennes, comme un mythe, dont il faudra pourtant s’accommoder, sans savoir trop comment, au moment de sa disparition physique.
Alors on oubli complètement que dans d’autres réalités de notre être, dort une locomotive pleine de force et d’énergie, qui n’est autre que notre parcelle divine impatiente d’allumer ses feux pour tirer nos pauvres wagons, que notre égo et notre mental fabriqués de toutes pièces poussent laborieusement à contre-pente qui plus est, dans cette vallée remplie des larmes de nos péchés et de nos souffrances, depuis l’origine des temps. Nous sommes sans doute les plus grands masochistes de l’univers.
Notre impuissance à admette cette autre réalité immanente est d’autant plus éloignée de nous-même que nous nous complaisons et nous accrochons à toute la magie des illusions que crée et fabrique ce mental à travers nous et les autres. Il n’y a qu’à regarder le nombre de vérités absolues et de certitudes que l’homme a inventées depuis l’origine des temps et avec quelle fureur guerrière et quelle conviction il les a défendues et imposées, pour comprendre la vanité des intelligences de chaque époque; avec quelles candeur et naïveté il y a succombé pour les rejeter ensuite au fur a mesure pour en créer ensuite de nouvelles, vouées finalement elles aussi aux gémonies et à l’obsolescence.
Comment sortir de ce cercle de fer ?
Comment sauter de ce manège désenchanté ?
Comment percevoir la lumière des lumières ?
Les temps sont arrivés pour faire sa propre recherche intérieure. Le temps des fureurs hystériques collectives va s’estomper peu à peu. Les changements du monde vont se faire de plus en plus de l’intérieur que de l’extérieur. Des pans entiers de vieilles structures s’écroulent ou vont s’écrouler d’elles-mêmes, presque sans convulsion. Des énergies plus subtiles viennent habiter et prendre possession de ce monde en plein désarroi, en proie au doute et à l’impuissance. Même si pour beaucoup, encore accrochés à l’ordre établi, cela est inconcevable, ils s’interrogent sans trop se l’avouer sur la pérennité des valeurs d’une morale fabriquée pour les servir.
Nul besoin d’épée, de révolutions sanguinaires, même si la bête immonde est toujours tapie quelque part, prête à mordre, provoquant planétairement encore quelques horreurs locales, cette « vague » s’amplifie et aucune institution, système, dictature ne peuvent la combattre. Car il n’existe aucune arme extérieure, elle n’épargne personne et chacun est atteint dans sa propre intériorité. L’effet de cette «vague» accélère l’évolution des schémas de comportements qu’ils soient positifs ou négatifs, chacun se révèle et se trouve dans l’obligation du choix, les compromis sont de plus en plus difficiles. En apparence, il y a même une augmentation marquée des attitudes négatives. Pour certains, cette période est trop difficile à affronter consciemment et ils choisissent la mort, la maladie, la toxicomanie ou la folie comme moyen d’éviter ce changement. Chacun a le sentiment qu’il y a aucun moyen d’éviter cette transformation, les progrès, les nouvelles inventions.
On constate la dégénérescence des systèmes de croyance et d’organisation et la corruption des pouvoirs établis, chacun perd de plus en plus ses repères habituels. Nous n’avons plus le luxe d’un processus lent et graduel d’assimilation, il faut maintenant, sans arrêt, se centrer sur l’unité de soi et le moment présent, renforcer son corps physique et abandonner ses dépendances et apprendre à se reposer réellement, dans un état d’esprit joyeux, à ressentir ce processus de canalisation énergétique. Alors est-ce que les interrogations d’André Malraux sur ce XXI siècle spirituel commenceraient d’avoir un début de réponse ? On a l’impression que toutes les formes de vie ressentent l’augmentation de cette énergie spirituelle à mesure qu‘elle pénètre les royaumes intérieurs de notre planète. Bien sûr, tous n’y sont pas immergés, mais tous quelque part sont atteints et éclaboussés. En tout cas, ceux qui iront dans le sens de ce changement seront incités par des niveaux supérieurs à demander l’accession à des capacités, physiques, psychique et spirituelles, pour stabiliser leur énergie et être prêts au prochain changement et encore à celui d’après.
Elle est là, cette libération et cette reconquête de l’espace intérieur dans lequel font irruption ces vibrations divines et ceci en dehors de toute condition sociale et intellectuelle et même religieuse. Progressivement de plus en plus de gens prennent conscience de ce processus et observent les échanges et l’augmentation de ce mouvement informel et insaisissable dans leur environnement, même si celui-ci est médiocre. Et c’est là qu’il faut saisir ce que peut nous apporter notre mère la Terre dans ce qu’elle a de plus
magique, de plus pur et de plus régénérateur, c’est à dire : l’eau du miracle. C’est cette eau que l’on peut transformer pour accélérer notre propre évolution, cette eau encore immergée dans le mystère qui n’attend pour se révéler qu’un peu d’amour et d’attention de notre part.